tag:blogger.com,1999:blog-2487565375255222141.post5803701643588080109..comments2023-02-12T11:45:09.826+01:00Comments on Dans les testicules de Darwin: Des probabilités et des boucsAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/09824252779948470033noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-2487565375255222141.post-88030099057081753242016-05-31T14:43:08.200+02:002016-05-31T14:43:08.200+02:00Merci pour cet article,
Une autre façon qui permet...Merci pour cet article,<br />Une autre façon qui permet d'avoir plus d'intuition. C'est de refaire le jeu non pas avec 3 portes mais avec 1000 portes. <br />Si on choisit la porte 1 et que l'animateur ouvre toutes les portes sauf la porte numéro 666 ... On se dit qu'il y a anguille sous roche et qu'on devrait peut être changer de porte.<br />Je pense qu'avec 3 portes on ne prend pas en compte l'information que l'animateur ne choisit pas totalement aléatoirement la porte à ouvrir. Mais qu'il a une contrainte, qui est qu'il ne doit pas ouvrir la porte contenant la voiture. Othmane.Shttps://www.blogger.com/profile/04947003614453628240noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2487565375255222141.post-22983370302354811652016-03-10T08:56:00.966+01:002016-03-10T08:56:00.966+01:00Salut Flavien,
Je crois que ce à quoi tu fais réf...Salut Flavien,<br /><br />Je crois que ce à quoi tu fais référence est ce que l'on appelle l'aversion ou résistance au changement en psychologie (il y a une page Wikipédia là dessus). <br /><br />Dans le cas du jeu de Monty, des expériences en laboratoire montrent que les joueurs exposés pour la première fois au problème déclarent que les choix sont équivalents. Néanmoins, cela n'empêche pas que dans leur décision, ils manifestent une aversion au changement. Les psychologues qui ont travaillé sur Monty Hall déclarent souvent que cette aversion existe mais je n'ai pas trouvé d'expériences et de résultats probant à ce sujet. Ca doit pourtant exister, mais peut-être est-ce une question trop classique dans le champ de la psychologie pour faire l'objet de publications récentes... Si quelqu'un en connaît je suis preneur d'ailleurs!<br /><br />Ton interprétation de la cause de cette aversion (stress, pression du public) au changement est intéressante, il faudrait effectivement la tester comme tu le proposes. Je ne sais pas si cela a déjà été fait. Il faut cependant noter que ce facteur de stress est peut-être difficile à contrôler (certaines personnes peuvent être stressées dans un exercice sans enjeu en laboratoire, tandis que d'autres peuvent êtres complètement détendues sur un plateau télé).<br /><br />En tout cas merci de cette analyse.Fabitohttps://www.blogger.com/profile/04572705149595297088noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2487565375255222141.post-64162492997648340432016-03-09T20:17:01.470+01:002016-03-09T20:17:01.470+01:00Intéressant.
Mais peut être que pour beaucoup la p...Intéressant.<br />Mais peut être que pour beaucoup la première barrière psychologique vient de la crainte que nous avons de passer d'une situation de gain à perte et donc de devoir assumer un échec non plus induit par de la simple malchance mais par une prise de décision. C'est à dire : "Si je change et que je trouve la chèvre alors je suis super déçu car mon 1er choix était le bon" versus "si je ne change pas, je trouve la chèvre, j'ai 'juste' pas eu de chance au départ!".<br />D'ailleurs j'en viens presque à me demander si finalement nous n'avons pas conscience quelque part qu'une information nous est effectivement bien donnée pour la la seconde porte et que cela ne peut que nous aider à faire un choix stratégique (mais sans en comprendre pour autant les lois probabilistes inhérente) et que cela nous force d'avantage à rester campé sur notre choix initial (ayant eu d'avantage peur d'avoir fait une erreur de jugement si on découvrait la chèvre au second tour) sans compter que la personne est sous pression du regard des spectateurs et de la mise en scène du plateau télé.<br />Après à voir si le comportement est surtout dirigé par l'enjeu et toute autre force de pression autour du choix (argent, situation humiliante, ...). Dans des situations n'impliquant pas autant d'enjeux et de pression, les comportements sont-ils les même ?<br />FlavienAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2487565375255222141.post-33403083160463986552016-03-09T17:16:12.793+01:002016-03-09T17:16:12.793+01:00Merci Yi Liang pour ce commentaire/éclaircissement...Merci Yi Liang pour ce commentaire/éclaircissement. Pas de doute, les mathématiques nous disent de changer. Le point clé du raisonnement sous l'angle que tu proposes est que notre porte reste à une probabilité de gain de 1/3, même après l'indication de Monty. Ce qui est mystérieux, c'est que nous ayons un penchant (instinctif?) à "réévaluer" les probabilités à 1/2 - 1/2 entre la porte initialement choisie et la porte encore fermée après l'indication de Monty, ce qui est une erreur mathématique. Certains psychologues ont appelé ce penchant "biais vers l'équiprobabilité".Fabitohttps://www.blogger.com/profile/04572705149595297088noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2487565375255222141.post-31459671069887307612016-03-09T16:42:08.442+01:002016-03-09T16:42:08.442+01:00Pour mieux faire comprendre la solution de ce para...Pour mieux faire comprendre la solution de ce paradoxe aux allergiques aux maths, j'explique que le choix de la porte 1 est de (1/3 cas de gain), alors que le reste (P2 + P3) represente donc (2/3 cas de gain). Que Monty nous montre la porte 2 ou la laisse fermé, notre porte 1 est toujours à 1/3. Donc changer est forcement mieux.Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/01542572201779096596noreply@blogger.com